Avec le gain en popularité de l’image de la « ville productive », tant dans les milieux politiques qu’académiques bruxellois, la nécessité de maintenir – voire de redévelopper – les activités productives en ville fait de plus en plus consensus. Cependant, si les acteurs publics, au travers de leurs politiques en termes d’activités productives et d’aménagement de l’espace, favorisent le déploiement de nouvelles activités, ces transformations se font parfois au détriment des anciennes. Or toutes ces activités productives ne sont pas identiques, tant en ce qui concerne les facteurs de localisation que du point de vue de leurs répercussions sociales et économiques. Ce travail, issu de la collaboration entre deux projets de recherche, s’inscrit donc dans une démarche empirique comparative et qualitative visant à comprendre les réalités auxquelles correspondent ces différents types d’activités, anciennes et nouvelles, ainsi que les enjeux liés à leur maintien ou à leur développement.
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